mardi 10 septembre 2013

vidéo du jour : Un Gabonais lutte pour la protection des éléphant.

C'est un noble combat que de dévouer sa vie à la sauvegarde des éléphants de la foret . On ne parle pas beaucoup de ce genre de Gabonais qui mènent un vrai combat pour les générations futures.La protection de l'environnement commence par nous-mêmes, la foret est d'abord la notre avant d’être pour la planète entière.
Le Gabon connait depuis quelques années une recrudescence du trafic d'ivoire, selon un responsable Gabonais des Eaux et forets, le Gabon "perd 5O éléphants par jour à Minkébé" ce qui est  énorme. Des mesures sont prises par les autorités pour endiguer ce phénomène qui ma foi met en danger l'écosystème du pays.
Des moyens techniques et humains doivent être augmenter pour permettre à ces hommes et femmes de lutter plus efficacement contre le braconnage des éléphants.

Vivement que les éléphants soient mieux protégés, il y va de notre faune.

Alerte du jour : Une jeune Gabonaise a besoin d'aide en Indonésie

Voilà une autre histoire qui a attirée mon attention car il s'agit d'une compatriote qui a urgemment besoin d'aide en Indonésie.
Elle se nomme Ango Nfene Agnès Martine, une jeune Gabonaise de 29


ans partie en Indonésie avec son compagnon pour y séjourner quelques jours. Après quelque temps passé avec son fiancé à Jakarta la capitale de l'Indonésie, elle se retrouve abandonner à elle après que selon ses dires son fiancé ait disparu subitement sans une quelconque explication ou aide.
C'est à la suite de cela que les problèmes de Agnès commencent à Jakarta, ne disposant plus de visa en cours de validité, elle est obligée de vivre dans la clandestinité et mendie pour survivre dans ce pays qu'elle voulait au départ découvrir avec son amoureux.
Selon Gabonlibre, elle aurait écrit aux hautes autorités du pays afin que ceux-ci l'aident à rentrer au pays, mais ses appels et courriers sont restés sans suite, ça fait déjà 3 ans. Notre compatriote explique qu'elle est en froid avec ses parents car ces derniers l'on délaissé quand elle était plus jeune, elle ajoute qu'elle est la parente de Stephanie Afène l'artiste Gabonaise.
C'est dans la détresse et l'abandon qu'elle demande à toutes les bonnes volontés de l'aider à rentrer au pays, c'est son seul souhait. Ca fait 3 ans que ça dur pour notre compatriote. Pour la joindre vous pourrez la contacter sur Skype "Oscar versace", son adresse e-mail: agnesouimartine@yahoo.fr. Le numéro répond au +62082310953779.
Faites preuve de solidarité, si vous pouvez passer un coup de fil ou informer quelqu'un qui peut agir, faites le ses coordonées sont là.

Vivement qu'elle rentre rapidement au Gabon

Le score du jour : 3-O

Les panthères du Gabon U-20 ont laminé la sélection Haïtienne par un score sans appel de 3 buts à zéro. L'équipe Gabonaise qui avait fait match nul (1-1) lors du premier match face au Sénégal, s'est donnée des bonnes raisons d'y croire pour le reste de la compétition en battant de la plus belle des manières l'équipe haïtienne.
Les deux premiers buts Gabonais ont été inscrits lors de la première mi-temps par Cédric Ondo Biyogho et  Serge Kevin Aboué Angoué. Le troisième but qui a abrégé les souffrances de l'équipe haïtienne a quant lui été marqué à la 78e minutes par Régis Romaric Nzong Bitoughé.
Les panthères affronteront le Liban qui été battu par le Sénégal (4-0) au compte de leur  troisième match.

Vivement que cette victoire soit le début d'une longue série pendant ces jeux....Bravo !!!

Sujet du jour : Nos langues sont menacées...Cas du Yipunu

Alors que les francophones célèbrent actuellement la langue française à travers les jeux de la Francophonie à Nice en France, au Gabon on s'inquiètent depuis plusieurs années déjà de la menace de la langue française sur les langues locales.
Le français est véritablement la langue la plus parlée au Gabon, elle a pris depuis de nombreuses années et pour des raisons diverses telles que, la scolarisation grandissante, l'exode rural, la télévision et internet, des proportions qui tendent à tuer les langues locales.
Ce n'est pas une mauvaise chose que de parler français, au contraire cette langue a faciliter l'unité du peuple et la cohésion nationale. C'est la langue officielle du Gabon depuis les indépendances, elle est langue d'enseignement dans les universités et les écoles. C'est elle qui nous permet le dialogue entre deux personnes d'ethnies différentes. C'est dire que le Français est important, mais pas au point de menacer nos langues.
La plupart des langues du GABON son menacées
Les jeunes d'aujourd'hui perdent l'habitude de parler en langue,pour certains c'est devenu gênant de parler sa langue devant les autres, quelle absurdité. 80% de la population vit en ville, on y retrouve toutes les langues du pays, ce qui a favorisé le brassage des peuples et des langues. Cependant avec le Français qui est plus utilisée,  les langues locales ont du mal à être apprises et transmises aux plus jeunes.
Ce documentaire traite le cas de la langue Yipunu qui comme toutes les autres langues est menacée par le Français et l'exode rurale..Ce documentaire nous plonge dans la culture Yipunu, on apprends beaucoup de leurs us et coutumes, leurs langues, et leurs contes. Personnellement j'ai beaucoup appris des pleureuses.
Parler sa langue rapproche de sa culture, ça nous ramène à nos origines, ça nous imprègne de nos croyances, nos vertus et valeurs, nos us et coutumes. Le français n'est pas notre langue, juste celle qui nous sert de courroie de communication, elle ne peut et ne doit prendre le pas sur nos langues vernaculaires.
Nos dirigeants voyagent pour valoriser la langue française à travers l'Afrique et le monde. Et nos langues?Et leurs valorisations? promotions et protection?  Il est incompréhensible de voir nos langues mourir sans prendre les mesures nécessaire pour leurs conservations. Cette situation s’amplifie par le manque de structures culturelles, l'absence de musées, de théâtres, de conservatoires des langues locales, etc.. Toutes ces insuffisances contribuent fortement à la méconnaissance de nos langues par les plus jeunes.

Vivement que chacun comprenne que la langue se parle et s'apprend d'abord dans nos famille. C'est de là que doit commencer la préservation.